Consommation

  • Face au dérèglement climatique, le monde hésite

    Alors que les études scientifiques sonnent l'alarme sur les conséquences irréversibles du réchauffement climatique, l'humanité semble paralysée, hésitante à agir efficacement. Si une part des causes est individuelle et une autre collective, des intérêts privés continuent de nous influencer.
  • Le soft power est une domination

    On peut le traduire par “puissance douce”, ou “influence indirecte. Dans un monde globalisé, le soft power influence les citoyens pour en faire des consommateurs. À travers la culture, les multinationales et les États usent des stéréotypes pour faire naître le désir d’appartenance et contrôler les populations. 
  • Marketing viral, l’aliénation 3.0

    En surfant sur les réseaux sociaux et en faisant de l’internaute un publicitaire, les marques utilisent les fonctionnements fondamentaux de la construction de l’individu pour toucher plus de cibles. S’identifiant aux influenceur.euses, les jeunes sont particulièrement aliénés par ce mécanisme de vente.
  • CONSOMMER EST-IL UN PROBLÈME ?

    Réflexion d'un de nos lecteurs : cette question peut paraitre naïve, voir incongrue. Quelle idée de penser que consommer puisse être problématique, il est évident qu’il nous faut consommer, comment pourrions-nous survivre autrement ? Précisons d’emblée la question, le problème s’il y en a un, réside dans notre propension à consommer au-delà de nos besoins, bref à surconsommer.
  • "LE NIVEAU DE VIE DES AMÉRICAINS N'EST PAS NÉGOCIABLE"

    Nous avons tendance à prêter aux hommes de pouvoir des formules intelligentes. Il est vrai que ces derniers les recherchent avidement, non rassasiés de dominer nos sociétés verticales, ils frémissent parfois à l’idée d’imposer leurs personnes à l’Histoire. Pour ce faire, l’épitaphe doit avoir la classe ! Au détriment de sa pertinence.