Dans cet essai, Mickaël Correia, journaliste à Médiapart, révèle les limites de l’action individuelle face à Energy China, Saudi Aramco ou encore Gazprom. A lire de toute urgence… climatique.
La reconnaissance timide du crime d’écocide a provoqué en France une levée de boucliers des néo-libéraux. Cette indignation témoigne de l’obsession de la croissance comme seul indicateur légitime des bonnes politiques économiques. Le déséquilibre entre leurs préoccupations économiques et environnementales, contredit par le bon sens, par le droit et par la science, ne semble plus tenir que grâce à l’idéologie.
Réflexion d'un de nos lecteurs : cette question peut paraitre naïve, voir incongrue. Quelle idée de penser que consommer puisse être problématique, il est évident qu’il nous faut consommer, comment pourrions-nous survivre autrement ? Précisons d’emblée la question, le problème s’il y en a un, réside dans notre propension à consommer au-delà de nos besoins, bref à surconsommer.
Nous avons tendance à prêter aux hommes de pouvoir des formules intelligentes. Il est vrai que ces derniers les recherchent avidement, non rassasiés de dominer nos sociétés verticales, ils frémissent parfois à l’idée d’imposer leurs personnes à l’Histoire. Pour ce faire, l’épitaphe doit avoir la classe ! Au détriment de sa pertinence.
À l’occasion de la campagne présidentielle, Demain en mains replonge dans « Les furtifs ». Ce roman de science-fiction d’Alain Damasio anticipe l’une des peurs de la rédaction : une société de consommation sans limites.
Civilization est un jeu vidéo de stratégie au tour par tour de type 4X conçu par Sid Meier et édité par Microprose. Nous y apportons une critique sur son fonctionnement et la société mis en avant.
Les panneaux publicitaires, jusqu'à quel point se sont-ils immiscés dans nos vie ? A partir de quel moment avons-nous oublié a quel point un espace dénué de publicités était beau et agréable ?
Paul Ariès est politologue, romancier et rédacteur en chef de la revue Les Zindigné(e)s. Il publie régulièrement une chronique pour Demain en mains.
Découvrez maintenant sa chronique
Edward Bernays né en 1891 est mort en 1995 dans l'oubli de l'opinion publique. Pourtant sa science de la manipulation des foules est encore enseignée dans les écoles de commerce et en politique. Il était publicitaire, journaliste, auteur et psychologue et a enseveli sa conscience sous des matelas de dollars.