Il ne se passe plus une journée (voire une heure) sans que l'on ne rejette la décroissance... sans jamais : 1) ni la définir (et encore moins s'y être intéressée, la comprendre) - 2) ni inviter une ou un de ses promoteurs… - 3) tout en appelant à la sobriété et à la réduction de nos consommations énergétiques...
Chronique de la Maison commune de la décroissance #1
« Maison commune » : le terme laisse rêveur... La maison commune, c'est le foyer, la maisonnée, le « chez-soi » qui est aussi un « chez les autres »... En un mot, un lieu partagé."
Ces dernières années la société bouge. Elle bouge dans les comportements et les habitudes de consommation : moins mais mieux, plus local et moins carné, on recycle, on réutilise, on échange et on partage. Elle bouge autour des expérimentations concrètes.
Paul Ariès, politologue, romancier, auteur de « Ecologie et cultures populaires » (éditions Utopia) vient de faire paraitre deux romans : un roman adulte, Le meilleur des mondes végans (éditions A plus d’un titre) et un roman-jeunesse, j’veux plus manger de viande (Golias).